Tribune Libre de François Desouche
Le caractère factuel et non idéologique de la plupart des articles que nous postons, notre politique ouverte et tolérante en ce qui concerne les commentaires, le principe de revue de presse sur lequel repose le blog et le fait que nous limitions au maximum l’expression de nos propres opinions troublent nombre de lecteurs et d’observateurs.
Chacun y va de ses suppositions et les fantasmes les plus délirants vont bon train.
Nombreux, par exemple, nous assimilent à nos commentateurs.
C’est assez idiot car Fdesouche.com est ouvert à tous. Et, paradoxalement pour un site dit xénophobe, il accueille sur ses pages des individus de tous horizons, de toutes origines et de toutes opinions. D’ailleurs, nous sommes heureux de contribuer à faire avancer le débat et de combattre les préjugés et l’ignorance en permettant à des Blancs de parler avec des Noirs, des Arabes, aux libéraux de débattre avec des « socialistes », à des « racistes » de discuter avec des immigrés, à des antisionistes de le faire avec des Juifs…
Une telle diversité est rare sur le web francophone. Nous la considérons comme une richesse.
D’autres, sous prétexte des thématiques dont nous traitons, nous décrivent comme un site d’extrême-droite.
Pourtant, l’immense majorité des articles que nous publions sont tirés de la grande Presse et nous nous abstenons le plus souvent du moindre commentaire.
La vérité, c’est que nous ne nous inscrivons pas dans la longue tradition de la droite antiparlementaire Française. Nous n’en sommes pas les héritiers, ou que très partiellement.
Si nous consacrons du temps à faire vivre ce site, ce n’est ni au nom d’une idéologie, ni pour une quelconque utopie, mais bel et bien parce que notre peuple est menacé de disparition.
Parce que sous les effets conjugués de l’immigration, des carences démographiques des autochtones et du métissage, le peuple de Vercingétorix, de Rabelais, de Vauban, de Pasteur risque purement et simplement de disparaître.
Or, le conservatisme identitaire n’est pas l’apanage exclusif de l’extrême-droite et n’est incompatible ni avec la démocratie, ni avec les valeurs humanistes. Bien au contraire.
Pourquoi alors nous traiter comme des parias et nous donner le mauvais rôle ?
La substitution programmée des peuples européens est un phénomène historique majeur, inédit par sa rapidité d’exécution et par son ampleur, une réalité face à laquelle les clivages politiques paraissent bien dérisoires.
Qu’elle les enthousiasme ou non, cette perspective devrait être une des préoccupations principales de nos gouvernants, devrait faire la une des médias, devrait mobiliser scientifiques et historiens, démographes et sociologues…
Au lieu de cela, les mêmes essaient de faire taire ceux qui tirent le signal d’alarme et cachent l’ampleur du phénomène.
Il est d’ailleurs assez paradoxal de constater que même des prétendus patriotes, amoureux de la France, nationaux-républicains font comme si de rien n’était ou, pire, nous donnent des leçons de patriotisme, comme si l’on pouvait sincèrement aimer la France sans se préoccuper de la disparition de son peuple historique.
Je pense à Alain Soral, mais aussi à Elisabeth Lévy et même à Eric Zemmour qui n’aborde –lui non plus – jamais le sujet.
On inverse aussi les rôles quand on nous accuse d’attiser le racisme alors que nous nous contentons de relater des faits réels et sourcés.
Nous n’éprouvons de haine ou de mépris à l’égard d’aucun peuple, d’aucune ethnie…
Au contraire, nous sommes du côté des Kabyles, des Indiens d’ Amazonie, des Pygmées et de tous les peuples qui veulent préserver leurs identités.
C’est au multiculturalisme et au principe d’une France multiraciale que nous nous opposons car nulle part cette utopie n’a fonctionné, parce que partout elle est un facteur de violence, d’inégalités, de pauvreté et de destruction.
Nous voulons rester nous-mêmes, nous ne voulons pas être dissous, c’est un droit inaliénable et c’est parfaitement moral.
