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La thèse de l’utilisation du trésor de guerre de l’UIMM pour corrompre des syndicalistes se précise.

Aux enquêteurs qui lui demandaient fin septembre à quoi pouvaient bien servir les quelque 15 millions de retrait en argent liquide opérés sur les compte de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) entre 2000 et 2007, Denis Gautier-Sauvagnac a, dans un premier temps,évoqué des «œuvres sociales». Quelques jours plus tard, le président de la puissante fédération patronale de la métallurgie parlait de «fluidifier le dialogue social», formule sybilline faisant aussitôt porter le soupçon sur les syndicats, ou au moins certains d’entre eux, susceptibles de s’être laissés corrompre dans le cadre de négociations.

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