3 raisons:
– le manque d’indépendance politique
– le fonctionnement non démocratique des institutions
& – le manque de transparence financière du Mouvement NPNS
En février 2003, la marche contre les ghettos et pour l’égalité a permis une formidable prise de conscience et représenté un formidable espoir pour nous, filles et garçons des cités de France qui se battent sans relâche afin que triomphent le respect, l’égalité, la mixité et la laïcité dans nos quartiers ghettos.
Dans le sillage de Fadela Amara qui nous avait ouvert la voie avec courage et pugnacité, plus de 50 comités avaient été créés, souvent avec peu de moyens pour venir en aide aux filles et garçons qui nous sollicitaient. Ce fut un travail difficile mais ô combien utile pour tisser du lien social.