L’atonie mentale contemporaine et 30 ans de jeunisme délirant ont permis que désormais, des escouades de crétins à bonnet peuvent saloper les murs de toutes les villes de France en toute impunité. Avec parfois même le soutien des municipalités, comme le montre cet article de la Nouvelle République, et dont le titre mérite à lui seul un trophée novlangue : “Quand graffeurs et taggeurs habillent la ville de couleurs”. (source)
