Régulièrement, le mobilier urbain est pris pour cible par des vandales à Toulouse. Des actes de malveillance qui coûtent cher à la collectivité. « On estime qu’il y a 1 000 vitres cassées par an à Toulouse, une centaine par mois », déplore le directeur régional de JCDecaux. Chaque vitre cassée coûte 150 € pièce, soit un préjudice d’environ 150 000 € par an, au bas mot. (source)