Interpellé le 8 janvier, Thomas, 23 ans, a été condamné pour avoir recouvert de tags murs, devantures de commerces, poubelles et toilettes publiques du boulevard Machin à Toulouse. Les agents de la mairie ont évalué le coût du nettoyage à 9 374 €. La mairie de Toulouse s’est constituée partie civile hier et a réclamé le remboursement de cette somme au prévenu. Le tribunal a condamné le tagueur à 3 mois de prison dont deux et demi avec sursis et l’obligation de régler la facture. (source)
Noter : le prénom du délinquant est cité, la ville réclame le remboursement du préjudice, la sévérité de la peine.
• Comparer avec la profusion d’articles sur ces délinquants qui restent à jamais des “jeunes” et dont les médias cachent délibérément les noms.
• A-t-on jamais entendu parler de municipalités réclamant le paiement des dégats à ces racailles eternellement anonymes.
• Comparer avec les délits autrement plus grave pour lesquels on apprend que les auteurs sont relachés dans la nature après quelques heures de garde à vue.