Dans “Le journal de Montréal”, le premier quotidien québecois (300.000 exemplaires/jour), une chronique du “camp du bien” contre les méchants racistes-fachistes qui ne croient pas aux bienfaits de l’immigration. Extraits :
« Je connais une Montréalaise qui est très noire de peau, très belle, et qui parle le français avec un petit accent.(…) Elle s’appelle Judith, elle est née à Montréal ; elle est aussi québécoise ou canadienne qu’une tarte aux pommes chez Tim Hortons, alors elle en a vraiment marre de se faire demander d’où elle vient.(…)
La jeune culture québécoise d’aujourd’hui est mondialisée, métissée, épicée de tous les idiomes culturels et musicaux de la planète. Nous en sommes là et c’est clair pour une bonne partie des gens que ce métissage ne menace pas notre culture ; il l’enrichit ; il la fait (…) Il est grand temps que les Québécois apprennent à accepter et à aimer le Québec tel qu’il est vraiment. » (source)
«Bravo», hurla Eglantine, qui oubliait qu’elle avait fait toute sa scolarité à l’école Alsacienne à 2500 euros l’année pour éviter l’école publique et les charmes de la diversité.