Un extrait d’une prose hautement comique éructée dans un article non signé en réaction au film de Wilders. Après quelques paragraphes qui se veulent mesurés…
“Le Coran se présente comme un ouvrage d’une densité et d’une richesse remarquables. Il détermine le cadre de vie qui permet au croyant de s’épanouir dans la piété et la dignité. (…)
… l’auteur commence à glisser sur sa propre barbe…
C’est bien le Coran qui décrit, il y a 14 siècles, l’Univers sous son aspect primitif d’atome initial. Qui donc, ô Geert Wilders, pouvait évoquer de tels phénomènes ?
…et s’envole dans les nuées du délire mystico-psychotique :
Le Dieu de l’islam (…) est Dieu de l’Univers, Glorieux et Majestueux, Immense, Omnipotent et Omniscient, le Dominateur Suprême. Il est Celui dont la Puissance ne connait pas de limites, qui au jour de la Résurrection, fera ployer l’ensemble de l’Univers dans Sa Main et qui S’est prescrit à Lui-même la Miséricorde.
Dans de tels cas, on devine la profondeur du délire rien qu’au nombre de majuscules… (source)
