Vous allez dans ces petites villes de Pennsylvanie ou du Midwest, les emplois ont disparu depuis vingt-cinq ans. (…) Les gens ont régressé sous Clinton et sous Bush. Pas surprenant qu’ils soient amers, s’accrochent à leurs flingues et à leur foi, à l’antipathie pour ceux qui ne sont pas comme eux ou à des sentiments anti-immigrés ou antilibre-échange pour exprimer leurs frustrations.”
Magnifique mépris de l’hyper-classe mondialisée pour les red necks. Je me permets une interprétation : « comme ces gens sont au chômage et pauvres, ils ne comprennent pas les bienfaits de la mondialisation. » C’est en clair ce que veut dire le sénateur de l’Illinois.
Il est à noter que les pauvres Français sont bien mal lotis par rapport aux Américains car ils n’ont eux ni flingues, ni foi… Source