Les journalistes, habituellement si prompts à réagir dans les cas de propos racistes dans le but de vendre un maximum de papier, font profil bas dans l’affaire Furlan.
Alors que l’entraîneur de Strasbourg a déclaré que “l’Italien (Fabio Grosso) n’a pas renié sa race ni ses gènes” et qu’il a osé rajouter que c’était un “macaroni de merde” devant toute la presse et les caméras, cette information n’est relayée dans aucun média (hormis le site internet de l’Equipe). Source