Sur l’air de :
« J’avais milité, comme un âne
pour des idées, qui me séduisaient
Puis j’ai bien vu, Dieu me damne,
qu’en vérité, c’était trop niais.
Et j’ai crié, crié, Staline, pour qu’il revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh! j’avais trop de peine
J’ai relu Troski, cette belle âme,
Mais toutes ses idées étaient moisies
Je vote socialo, sans plus y croire
Et sans un espoir, pour me guider.
Et j’ai crié, crié, Staline, pour qu’il revienne
Et j’ai pleuré, pleuré, oh! j’avais trop de peine