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Le Parisien se fait aujourd’hui l’écho d’un début de mobilisation d’associations féministes et immigrationnistes en faveur d’une régularisation des travailleuses clandestines, notamment des femmes de ménage et des nounous d’Afrique noire et du Maghreb. Cet après-midi, l’association de défense des droits des femmes a rencontré la CGT pour boucler une centaine de dossiers qu’elle déposera ensuite dans les préfectures d’Ile-de-France.

Selon les collabos Ana Azaria et Gracieuse Lesaffre, “elles vivent ici, elles bossent ici, elles doivent rester ici!”.

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