Massacrer un tam-tam est devenu aujourd’hui chez nombre d’adolescents le comble du raffinement musical, se faire trouer la peau pour y faire pénétrer divers accessoires métalliques est devenu le dernier chic, et s’agiter le postérieur en roulant des yeux fous avec force grimaces est le summum de l’expression corporelle. Les français intègrent manifestement très bien le nouvel idéal culturel qu’on leur propose…
De fait l’influence culturelle qui nait de la confrontation entre “jeunes” issue de la diversité plurielle et les jeunes français des quartiers centraux se fait dans un sens unique et exactement opposé à celui prevu et recherché : c’est le gamin blanc et bon bourge qui s’achetera un djembé et non le jeune de cité qui prendra des cours de piano.