Une étude révèle que la pilule contraceptive empêcherait les femmes de choisir le partenaire le plus adapté. Les changements hormonaux engendrés par la prise de la pilule modifieraient en effet chez les femmes réception des phéromones mâles (messages olfactifs imperceptibles).
Alors qu’une femme sans traitement contraceptif choisira des partenaires dont les phéromones indiqueront une plus grande variabilité génétique, la pilule induira chez elle le choix d’hommes dont les gènes se rapprochent des siens.
Et les études antérieures ont montré que les couples à l “histocompatibilité” dissymétrique (nous passons les détails) étaient plus satisfaits et plus fidèles. La similarité “histocompatible” induirait infidélité et problèmes de fertilité. De plus, quand la femme cesse de prendre la pilule, le changement de perception des phéromones de son partenaire pourrait aboutir à la rupture pure et simple, en raison du rôle important joué par ces molécules dans l’attirance sexuelle. (source en anglais)
Ou comment l’Occident est démographiquement mort 50 ans après l’introduction de la pilule dans les années 60. Sûrement un complot (pour les plus lents, c’est ironique). Les commentaires d’un bio-physiologiste de passage seront les bienvenus.