Le DJ jamaïcain Y doit se produire à Zurich et un mois plus tard, c’est Z qui enchaînera pour une soirée exceptionnelle. Le mouvement international Stop Murder Music [“stop à la meutre-musique”] fera tout pour empêcher cela.
«Ces artistes sont terriblement homophobes. Y appelle même à l’assassinat des gays. Comment des salles peuvent-elles les programmer !» souligne un membre du collectif basé à Berne. Il se bat pour des soirées reggae sans discrimination : pressions sur les clubs, appel au boycott…
Et ça marche. A tel point que certains s’agacent. «Depuis un mois, on ne parle plus que de ça», peste Paco, de Reggae.ch. Il dénonce une persécution contre sa musique favorite : «Certaines paroles ne sont pas acceptables pour nous, mais il faut les replacer dans le contexte jamaïcain.» (source) (via Wilfried)
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Bonus : « Nicolas et Patrick ont écourté leur séjour dans un quatre étoiles, qu’ils accusent d’homophobie. Ils ont néanmoins cogné l’hôtelière de 75 ans » (lire) (via Pitch)
