Contrairement à ce que les statistiques semblent dire, la criminalité des jeunes est en augmentation à Berlin. Violence, cruauté, et recours aux armes ont fortement augmenté ces dernières années. Les jeunes Turcs et les Arabes tirent les statistiques vers le haut.
Selon la juge pour enfants Kirsten Heisig, « les statistiques de la criminalité de Berlin montrent une baisse des délits. Cette information — souvent reprise par les journaux — n’est pas satisfaisante. En effet, la part de la délinquance juvénile en volume pèse près de 25 % de tous les délits.
Pour bien analyser ces statistiques, on est en droit de poser la question de l’origine des délinquants. Les délits avec violence sont essentiellement le fait d’hommes d’origine étrangère, principalement turque, mais aussi arabe. Trois fois plus souvent que les jeunes Allemands.
Quant aux victimes, les trois quarts du temps, ce sont des Allemands de souche.
Sur la totalité des récidivistes, 80% sont des immigrés. 45% d’origine arabe, alors qu’ils ne forment qu’une infime partie de la population berlinoise. Et 35% d’origine turque.
On ne peut se satisfaire de l’habituel couplet sur l’« origine sociale » pour expliquer ces chiffres, surtout si l’on oublie de prendre en compte le rejet de la société et le rejet des Allemands, qui est évident chez ces délinquants.
Je n’ai pas de chiffres qui le prouvent, mais cela fait partie de mon travail de constater que les victimes des vols ou d’agressions graves ne sont pas uniquement volées, agressées, ou tabassées. Elles sont aussi traitées d’ « Allemands de merde », « de bouffeurs de porcs » et de « chrétiens de merde »
En avril 2008, j’ai traité une affaire qui impliquaient plusieurs jeunes Turcs. Ils avaient traité des jeunes filles de « putes allemandes ». « Les Allemands, il n’y a rien d ‘autre à faire que de les gazer » avaient-ils ajouté. (…)
L’augmentation des violences physiques — plus 18% — dans les écoles est aussi le signe que les écoles sont devenues des lieux de forte criminalité…
Source : Die Welt via PI news (imaginez un tel article dans “le Monde”)
