Les patrons japonais, plutôt que de recourir comme en Europe à l’immigration de masse et au multiculturalisme, invitent leurs salariés à faire des bébés pour relever le taux de natalité national.
Le Keindaren, la plus grosse organisation patronale japonaise, a trouvé une solution contre la crise. Il a demandé à ses 1632 compagnies membres de convaincre leurs salariés de se reproduire en plus grand nombre. Le sexe ou le déclin.
Le taux de natalité s’effrite au Japon depuis trente cinq ans, au point qu’en 2013, le pays comptera deux fois plus de plus de 65 ans que de moins de quinze ans, avec des conséquences majeures sur la force de travail nationale et donc sa puissance économique. Suite