La campagne médiatique à l’encontre d’Eric Zemmour prend de l’ampleur. Dans la presque totalité des articles le condamnant pour ses propos, on trouve de nombreuses affirmations reposant sur une caution scientifique marquée du sceau des certitudes absolues :
• “Rappelons que tous les scientifiques s’accordent (…) à reconnaitre qu’il n’y a qu’une seule espèce humaine et que (…) il ne saurait y avoir plusieurs races humaines.” (Patrick Lozes, CRAN),
• “entre deux supposées races, en effet, la distance génétique n’est pas plus grande que celle qui sépare en moyenne deux individus supposés appartenir à une même « race ».” (M. Wieviorka).
Un groupe de chercheurs en génétique a pourtant publié en novembre 2007 dans la revue américaine Nature une étude qui établit une corrélation étroite entre la région d’origine et le génome des populations européennes.
L’article souligne entre autres que la variation génétique des populations européennes est très faible: la différence entre le patrimoine de deux Européens n’excède pas 0,4%. Malgré ce fait, en utilisant des marqueurs génétiques spécifiques à certaines populations, ils sont parvenus à établir une cartographie génétique très précise.
En faisant un test ADN et en utilisant les données obtenues, il est possible de retracer l’origine géographique d’un individu européen, “souvent à quelques centaines de kilomètres près“.
Des résultats bien politiquement incorrects. Gageons que les tenants modernes du lyssenkisme sauront y répliquer comme il se doit.
Source : 20 minutes