«L’immigration, une chance pour l’Espagne. » Il n’y a que quelques mois, ce slogan était encore au cœur de la campagne de Zapatero.
Englué dans la crise, le chef du gouvernement a tourné la page. Plus un mot. En une décennie, l’Espagne a accueilli près de 5 millions d’immigrés et le pourcentage d’étrangers dans la population (12 %) a quadruplé depuis 1998. Finies, donc, les louanges de Zapatero en faveur de ces immigrés, terminé, le temps des régularisations massives. Au lieu d’une « chance », l’immigrant est devenu un boulet. (lire la suite) (via 007)
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Exercice : reprendre le texte et remplacer le mot “Espagne” par “France” (et Zapatero par qui vous voulez). Vous obtiendrez non plus, à quelques détails près, un article du Point, mais un brulôt raciste rappelant les z-heures…