Dans le cadre de l’aide au développement, Nicolas Sarkozy, alors Ministre des Finances, signait en juillet 2004 un protocole prévoyant 2 milliards d’euros d’aide à l’Algérie. “Le ministre français s’est empressé de révéler à la presse, dès sa descente d’avion, que l’accord en question « est le plus important jamais signé par la France avec un autre pays».
Inventaire très partiel :
- 55 millions d’euros sous forme de prêts bonifiés pour faciliter l’investissement des PME algériennes
- 80 millions d’euros sous forme de crédits pour le financement du projet de transfert d’eau du barrage de Taksebt
- 75 millions d’euros pour la reconstruction d’édifices détruits par le séisme de mai 2003
- 288 millions d’euros de conversion de dettes en investissements
La partie française a exprimé, d’ores et déjà, sa disponibilité à apporter à ces projets une enveloppe de crédits concessionnels de l’ordre de 100 millions d’euros.
Pendant ce temps, le ministre algérien du Culte, Bouabdallah Ghlamallah, fera un crochet pour assister à la pose de la première pierre de la future mosquée de Tours à laquelle son ministère à contribué à hauteur de 490 000 euros.