Via Novopress (texte partiellement réécrit)
Voici une semaine qu’un homme de la banlieue de Bordeaux a été assassiné et égorgé par 5 racailles. Vendredi 12 décembre, à la tombée de la nuit, Philippe Seguin, 40 ans, habitant la commune de Floirac, croise la route de plusieurs «jeunes» qui entreprennent de le dépouiller.
Il tente de se défendre et se fait larder de coups de couteaux puis égorger. Selon les constatations effectuées par la police, il a eu « l’aorte tranchée ».
A part quelques lignes dans le journal local, cette affaire n’a suscité aucune indignation, aucun écho médiatique. Cet homme n’a eu qu’un tort : il ne s’appelait ni Mohamed, ni Ilan Halimi. Il ne dispose d’aucun lobby, d’aucune organisation « anti-raciste » pour le défendre et médiatiser l’horreur du crime. La presse ne s’intéresse pas à aux Français de souche qui habitent les «quartiers émotifs» et qui sont régulièrement victimes d’une immigration violente, inassimilable et conquérante.
Contacté par Novopress Aquitaine, Sos-Racisme a refusé de répondre aux questions. (source) (via bag)