Lu dans Libération :
Ahmed Aboutaleb, 47 ans, a pris ses fonctions de maire de Rotterdam. Fils d’imam, ce travailliste d’origine marocaine [en réalité il possède la double nationalité, ndlr] est arrivé aux Pays-Bas à l’âge de 16 ans. Il est le premier «allochtone» à prendre les rênes d’une grande ville néerlandaise.
Avec son port et ses industries, Rotterdam est un poumon économique important. Berceau de la droite populiste, cette ville de 588 000 habitants comptera 54 % d’immigrés d’ici 2020.
Grand partisan du dialogue et du consensus, Ahmed Aboutaleb est attendu pour des mesures sans complaisance sur le dossier de l’intégration, toujours brûlant aux Pays-Bas. Source
Le journaliste de Libé ne précise pas dans quel sens se fera cette prétendue “intégration” dans une ville majoritairement peuplée d’immigrés. Rotterdam, tout comme bientôt d’autres grandes villes hollandaises, constitue un cas flagrant de génocide par substitution d’une population indigène par les effets conjugués de 4 facteurs :
- immigration de peuplement
- dénatalité autochtone
- métissage (culturel ou ethnique)
- “white flight”