– Vous avez quelque chose pour vous défendre ici ?
– Oui. Une petite bombe lacrymogène. Obligée. Ça sert pas à grand chose puisque comme ils savent que je l’ai, à chaque fois ils me sautent dessus et ils m’envoient valser dans la vitrine.
– Vous avez été blessée ?
– Oui, j’ai été recousue (indique son crâne), et j’ai eu une cote fêlée.