Chanteuses de mélodies et de gwerz à l’origine, elles s’essayèrent aussi avec succès au chant à danser, dans une version personnelle (à trois voix) du Kan ha diskan.
Le trio s’est arrêté en 1983, à la mort de Maryvonne, mais Eugénie a rechanté et réenregistré en compagnie de sa fille Louise Ebrel en 1994.