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Brèves – 29 janvier

  • Nice : deux samedis de suite, le centre-ville a été le théâtre de violences urbaines spectaculaires lors des “manifestations communautaires”, qui ont vu des centaines de jeunes saccager voitures, vitrines et terrasses de restaurant. Le journal Nice-Matin évoque la probable manipulation des jeunes : plusieurs adultes, qui se gardaient bien de commettre le moindre acte de vandalisme, organisaient en effet les opérations, haranguant les casseurs. Deux suspects âgés de 30 et 43 ans, de nationalité algérienne et marocaine, viennent d’être appréhendés. Source
  • Belgique : des dizaines d’espions étrangers actifs utilisent la couverture de journaliste, affirme Alain Winants, le chef de la Sûreté de l’Etat. Source

  • Saint-Cyr-sur-Loire : des mineurs “à problèmes” ou “connus pour des faits de délinquance” saccagent leur propre foyer de placement. Les faits débutent vers 1h00 du matin, lorsque deux jeunes filles armées d’un couteau et d’un tournevis menacent de mort un surveillant qui refuse de les laisser gagner l’étage des garçons. Ceux-ci se joignent immédiatement à la mutinerie et le saccage commence : radiateurs arrachés et jetés par la fenêtre, portes, meubles et cloisons défoncés, extincteurs vidés. Le portail et le fourgon de l’établissement seront également démolis. Seule l’intervention de la police mettra fin à la furie des jeunes. Source

  • Belgique : probablement lassés des incendies criminels, des vandales ont mis en oeuvre une nouvelle technique pour dévaster une école maternelle à Braine-l’Alleud : après s’être introduits dans les locaux par effraction, ils ont inondé les lieux en bouchant tous les éviers et en laissant l’eau couler. Les dommages sont sévères : le plafond, imbibé d’eau, menace de s’effondrer. Et le risque de court-circuit n’est pas négligeable. Les cours ont donc été suspendus. Sources 123
  • Au lycée Condorcet de Belfort, des messages affichés à l’intérieur de l’établissement, ainsi que des lettres adressées aux parents, rappellent que « la participation à des manifestations lycéennes ne [peut] être considérée comme [un motif d’absence] valable et [est] sanctionnée par une mesure pouvant aller jusqu’à l’exclusion de l’établissement ». Bien entendu, il n’en a pas fallu plus pour susciter l’ “émotion” de parents et d’élèves, sans doute habitués à plus de laxisme … Comme le rappelle avec bon sens l’inspecteur d’académie du Territoire de Belfort : « les élèves ne peuvent être grévistes, car ils ne sont pas considérés comme des travailleurs » Source

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