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[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x529nj_pierre-perret-la-bete-est-revenue_music[/dailymotion] Dans «A cappella», Pierre Perret persiste à parler de son «ami» Paul Léautaud. Problème: il ne l’a jamais rencontré. Et ce n’est pas son seul mensonge… Enquête
Dans son nouveau livre, «A cappella», le rigolo Pierre Perret, 74 ans, apparaît sous un jour nouveau, à la fois amer et menteur. Ce récit débute courant 1954. Le 16 juin 1953, Perret avait décroché un premier prix de saxophone au conservatoire de Toulouse, et devancé l’appel pour intégrer l’orchestre du régiment du Train de la caserne Dupleix. Ayant rencontré Brassens quelques mois plus tôt à Paris où il était venu pour l’entendre chanter, Perret campe impasse Florimont dès son arrivée dans la capitale. Il se laisse pousser la moustache, se met à la guitare. Au début, Brassens et sa compagne Püpchen l’accueillent en petit frère, mais selon Jean-Paul Sermonte, président des Amis de Georges, cette dernière lui a confié que «l’omniprésence de Perret devenait pesante. Elle se demandait s’il n’était pas amoureux de Georges».
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(Merci à Denis L.)

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