La France et l’Europe sont en train d’être envahies par des populations venues de l’étranger, des différentes régions d’Afrique en particulier. Le processus est accompagné, organisé et encouragé par les élites françaises et européennes, qu’elles soient politiques, économiques, médiatiques, artistiques ou intellectuelles.
Au nom des conceptions universalistes qui sont les siennes et de sa vision « idéelle » de la nation, l’oligarchie exige en effet de la population « de souche » qu’elle consente aux considérables mutations suivantes : il nous est demandé d’abandonner le cadre national au profit de la mondialisation ; de présenter des excuses à des populations et pays étrangers envers lesquels nous sommes accusés d’avoir mal agi ; d’abandonner certaines de nos règles pour ménager une place accrue à « la diversité » ; d’accepter une modification de notre peuplement ; de renoncer, enfin, à notre culture et à notre identité même.
Les premiers résultats de cette entreprise volontariste et globale de démoralisation sont désormais tangibles :
Plusieurs signes montrent que notre culture, dans la vie quotidienne même, est en passe d’être supplantée.
C’est ainsi que les jeunes d’origine française et européenne, de tout milieu social, abandonnant la langue et les codes de leur propre civilisation (qu’au demeurant ils ignorent), tendent à parler et à se comporter comme les jeunes immigrés (en en adoptant l’accent, le vocabulaire, la syntaxe, les mimiques et la gestuelle, l’habillement, la culture hip-hop). Il en va de même pour un grand nombre de jeunes Français des Dom-Tom, qui endossent la culture et l’état d’esprit des jeunes issus de l’immigration. Signalons ainsi qu’en 2007, les disques les plus vendus en France ont été ceux de la rapeuse Diams.
Un autre signe : dans les clubs de sport des grandes villes, les jeunes d’origine française ou européenne sont désormais en petit nombre. Un peu fragiles, un peu tendres, un peu « gentils », ils sont rapidement dominés et évincés par leurs camarades « de couleur », qui tirent parti de leurs qualités physiques certes, mais aussi de leur confiance en eux et de leur habitude des rapports de force.
On peut noter également la « cote » dont bénéficient les jeunes noirs auprès des jeunes françaises, que celles-ci soient de milieu populaire ou bourgeois : l’une des explications du phénomène tient sans doute au fait que la force et la confiance en soi, sources de prestige, sont décidément du côté des personnes originaires de pays non européens.
Dans le même sens, il semble qu’un nombre non négligeable de Français de souche française ou européenne se sont convertis à des religions d’origine étrangère, qu’il s’agisse de l’islam ou du bouddhisme.
L’éviction progressive de la population autochtone a également une dimension territoriale.
C’est ainsi que des portions croissantes du territoire national sont désormais interdites de fait à la circulation des personnes ordinaires. Dans des dizaines de quartiers, les personnes étrangères à la cité ne peuvent plus pénétrer (surtout si elles sont de type européen). Dans certaines cités, des groupes de jeunes « gardiens », postés en permanence aux différentes issues, filtrent l’entrée des voitures « étrangères ».
Signalons ce point. Tous les jeunes des quartiers sont contraints de s’intégrer à une bande : ceux qui resteraient à l’écart deviendraient des cibles et leur situation serait rendue invivable. Dans les bandes, les jeunes blancs de milieux populaires qui vivent encore dans les quartiers constituent le plus souvent les « petits soldats », rudoyés et victimisés par les chefs. Ils doivent prouver leur allégeance en adoptant les codes et les pratiques de la bande à laquelle ils appartiennent et en se montrant aussi déterminés et violents que ses autres membres.
Au-delà du cas des « quartiers » (et des transports en commun de banlieues), il est devenu dangereux depuis plusieurs années de se trouver dans un certain nombre de lieux. Dans le centre même des grandes villes, les bandes s’efforcent de s’attribuer progressivement certains endroits qu’ils considèrent comme leurs territoires (ainsi que l’ont montré de façon spectaculaire les évènements de la Gare du Nord en mars 2007).
Une situation nouvelle s’est installée ces dernières années dans différents quartiers centraux de Paris (Châtelet, Champs-Elysées, Bastille, Quartier-latin). Les bandes de jeunes des banlieues y font régner leur loi une fois la nuit tombée (et ce malgré l’importance des effectifs policiers déployés dans ces quartiers). Des passants (en particulier des jeunes) sont attaqués et dépouillés de leur portable ou de leur portefeuille. Les filles qui ne sont pas accompagnées constituent des cibles privilégiées (harcèlement, insultes, attouchements imposés). Par leur comportement agressif et provocant (démarche et gestuelle provocantes, agressions verbales, « embrouilles », intimidations, « pressions de regard »), ces bandes obligent les autres jeunes (qui sont en général blancs et ne circulent pas en groupe) à baisser les yeux.
Si un changement radical n’est pas rapidement mis en œuvre pour arrêter l’immigration, l’observation même de la vie quotidienne montre que la civilisation européenne ne survivra pas au phénomène d’envahissement en train de se produire.