- A Stockholm, un homme masqué surgit dans un train, et, sous le regard pétrifié des passagers, gribouille quelques tags à la bombe avant de faire éclater une vitre par laquelle il se jette sur le quai : c’est l’ “oeuvre d’art” réalisée par un étudiant en arts plastiques dans le cadre de son mémoire d’université. La société ferroviaire, insensible à la puissance symbolique de l’art d’aujourd’hui, réclame cependant 9.000 euro de dommages et intérêts. Source
- Saint-Pol (Nord). A l’issue d’une exposition d’art contemporain organisée conjointement par le lycée Pierre-Mendes-France et le Fonds Régional d’Art Contemporain (FRAC), des étudiants en Bac pro “électro et maintenance” ont été conviés à une “réflexion artistique” visant à “approfondir le thème de l’ornement appliqué à un objet du quotidien”. L’exercice est ainsi décrit par la Voix du Nord : « À partir d’une base de motifs issus de l’art islamique, les élèves ont appliqué des ornements sur un objet du monde occidental industriel : la chaise de l’Éducation nationale ». Un travail “sur les couleurs et la perspective”, ajoute le quotidien. Les croquis de chaises ornées de motifs arabisants ont été ajoutés à l’exposition. Source
- Neuville en Ferrain (Nord). Dans le cadre de l’exposition “L’art du masque, traditions et modernité “, vingt-huit élèves de CP de l’école Lacordaire ont été conviés à un atelier de création de masques africains organisé par les services culturels de la ville. Avec l’aide d’un consultant de l’association “Rencontres francophones”, chaque bambin devait ainsi créer son masque africain. Des travaux destinés à être exposés aux côtés des 45 masques de la collection, a précisé la responsable du service culturel. Source
