La Fédération française des agences de presse (FFAP) proteste contre la perquisition opérée lundi dans les locaux de l’agence Tac Presse, qui a réalisé un documentaire contenant des propos controversés d’un béké martiniquais diffusé sur Canal +, mardi dans un communiqué.
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La perquisition a été effectuée dans le cadre d’une information judiciaire ouverte le 10 février pour «apologie de crime contre l’humanité et incitation à la haine raciale» à la suite de déclarations d’un béké, un créole blanc, dans un reportage réalisé par Tac Presse. Les enquêteurs ont visionné des extraits de films, mais sont repartis sans rien emporter.
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