Fdesouche

Les insultes à l’uniforme ont bondi de 108 % depuis 1995, passant de 10 215 à 21 257 en 13 ans. Pour leur part, les actes de rébellion ont crû de 158 % depuis 1995, passant de 7 518 à plus de 19 400 faits l’année dernière.
Interpellations houleuses, contrôles d’identité mouvementés, verbalisations contestées : en marge de leurs missions d’ordre public l’année dernière, les policiers en tenue ont fait l’objet en moyenne chaque jour d’une soixantaine d’insultes ou de gestes particulièrement déplacés.
Depuis quelques mois, les responsables policiers remarquent que l’outrage est désormais «revendiqué comme un véritable acte politique par les militants de certaines organisations altermondialistes ou de sans-papiers».
La résistance physique et violente à l’action les policiers, elle aussi explose, bien que les peines encourues soient plus sévères. La loi prévoit jusqu’à sept ans de prison et 100 000 euros d’amende quand les violences sont commises en réunion avec armes sur des fonctionnaires. Malgré cela, les actes de rébellion ont crû de 158 % depuis 1995, passant de 7 518 à plus de 19 400 faits l’année dernière. Près de 22 % des auteurs sont des mineurs en perte de repère, les plus virulents n’hésitant plus à «casser du bleu» à coups de barres de fer ou de battes de base-ball. Source

Fdesouche sur les réseaux sociaux