Extrait d’un rapport du MRAP de décembre 2006 :
Dans le cas précis des régularisés de 1997 en France, il pu être observé que nombre de « régularisés » perdirent leur emploi illégal antérieur, par refus de leur employeur d’assumer le coût des charges sociales ou un salaire supérieur, ce que facilita une offre de main d’ouvre « au noir » abondante.
Les nouveaux régularisés se retrouvèrent finalement plus précaires et moins payés, ce qui a également fragilisé le renouvellement de leur carte temporaire.