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Une journée ordinaire dans la salle du Tribunal d’Instance.

Une vieille femme s’approche de la barre. Elle veut retrouver la maison qu’elle a loué pour y loger sa fille. En face d’elle, le maghrébin qui l’occupe. L’homme ne paye plus ses loyers depuis trois ans. Il est en situation irrégulière. Il a fait l’objet de plusieurs mains courantes au commissariat pour tapage nocturne. Il a une compagne et deux enfants. La vieille dame essaye d’obtenir son expulsion depuis deux longues années.
Le magistrat présidant les débats est maghrébin lui aussi. Et l’interrogatoire tourne au calvaire pour la vieille femme. Elle a de l’argent, alors pourquoi mettre dehors ce gentil couple ? Sa démarche ne serait-elle pas inspirée par d’inavouables motifs ? Et ces braves gens et leurs enfants, où va-t-on les loger ? Le couperet tombe : le président du tribunal d’instance fait application de l’article 1244-1 du Code Civil et accorde deux ans de délai au maghrébin pour régler sa dette à la vieille Dame. Sa fille ira se loger ailleurs. (…)

Suivent d’autres affaires, mettant également en cause des Maghrébins, dont la conclusion est analogue à la précédente.

J’ai assisté ce matin à une certaine forme de guerre dans cet espace (…) : celle qu’un Etat livre contre son Peuple pour le remplacer par un autre.
Pour l’écraser jusqu’à ce qu’il disparaisse, il lui retire le droit d’être protégé par le plus régalien des pouvoirs, le Droit de Justice. Un Etat qui a choisi d’ignorer le droit de son Peuple d’être jugé par ses pairs pour livrer ses justiciables à la fureur de barbares étrangers comme il y en a de plus en plus dans la magistrature et au barreau, « grâce » aux multiples brèches leur permettant de contourner les concours qu’ils sont incapables de passer : «voie réservée», «admission sur titres», «admission sur quota de nationalité»…
J’ai envie de vomir.

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