Selon Amnesty, la grande majorité des plaintes dont l’ONG a eu connaissance concerne des ressortissants étrangers ou des Français appartenant à une minorité dite “visible”.
“La dimension raciste est évidente”, accusent les rédacteurs du rapport. “Cette tendance a aussi été constatée avec préoccupation par les organes de défense des droits humains des Nations unies et par la CNDS, et fait craindre l’existence d’un racisme institutionnalisé au sein des organes chargés de l’application des lois en France”.
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