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Face au nombre croissant de femmes voilées de la tête aux pieds, 57 députés de différents partis commencent à s’interroger sur le phénomène et réclament la création d’une commission d’enquête parlementaire. L’un d’entre eux, André Gerin (PC), s’est retrouvé incapable de marier une femme dont le futur époux refusait qu’elle dévoile son visage.

A Vénissieux, la troisième plus grande ville du Rhône, les niqabs, ces longs voiles noirs qui ne laissent apparaître que les yeux (comme des burqas afghanes, mais sans grillage) sont très en vogue.
Des députés s’en inquiètent et veulent faire voter la création d’une commission d’enquête parlementaire pour « dresser un état des lieux, mieux comprendre le phénomène et définir des propositions». (…)
Se dirige-t-on vers une interdiction du port de la burqa dans les établissements publics, comme en Belgique ? Il y a un an, le Conseil d’Etat a refusé la nationalité française à une Marocaine voilée de pied en cap. Et la Halde a confirmé en septembre l’avis d’exclusion d’un cours de français d’une femme qui s’y présentait en burqa, dans le cadre de son contrat d’intégration.
« Le port de la burqa n’est pas une prescription coranique », rappelle Dalil Boubakeur, le recteur de la Mosquée de Paris. D’après l’islam, la femme doit se couvrir les cheveux et se vêtir décemment. » Pour lui, la multiplication de ces tenues est le signe « du progrès de certaines tendances fondamentalistes ».
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