« Elle se met en avant, elle agace, comme si elle était la plus célèbre du G8. C’est le énième caprice d’un ex top-modèle de gauche, qui chez nous aurait terminé dans une émission de téléréalité, mais qui en France est devenue première dame. Elle n’a pas voulu rencontrer les autres first ladies, préférant aller “à la rencontre de ceux qui souffrent”… Comme si mesdames Brown et Obama étaient venues en Italie, non pas pour voir la souffrance, mais pour glousser dans un local de stripteaseurs… »
« Mme Sarkozy a déserté, sans honte, toutes les rencontres, de la rencontre avec le Pape à celle avec les sinistrés du séisme. Quelqu’un devrait dire à la ‘première dame’ (en français dans le texte) que le snobisme à la puissance dix chez nous s’appelle la goujaterie. »
« Elle a toujours été très attentive à la cause des déshérités, mais avec ce comportement, même la charité pue. Elle ne pue pas (en raison) du gauchisme, elle pue (en raison) de la simple volonté d’être sur le devant de la scène. »
Et de risquer un jeu de mots assassin sur “bonne” : « Peut-être voulait-elle vraiment sembler la plus buona (gentille) du sommet ? En faisant ce qu’elle fait, elle reste ce qu’elle est. Seulement la plus bona (bonne). »
Il Giornale est dirigé par le frère de Silvio Berlusconi… (par Yves Daoudal)