Retour sur l’étude (largement médiatisée) publiée en 2004 par François Héran, directeur de l’Institut national d’études démographiques.
- La France ne constitue pas un «pays d’immigration massive»
- Le taux de fécondité de la France n’est pas massivement dû aux familles immigrées
- L’immigration irrégulière n’est pas «innombrable»
- Changer les modes de recensement, rendre obligatoire l’enregistrement des immigrés ne serait qu’un retour au régime de Vichy
- Accueillir l’immigration ne signifie pas accueillir la misère du monde
Conclusion : Ni «massive», ni «majoritairement clandestine», ni «prolifique», ni «misérable» ou «insaisissable» l’immigration «reste à découvrir».
Sources : INED et Libération