Un reportage très symptomatique de l’inversion des valeurs médiatiques. Depuis bientôt 20 ans, les groupes de rap de banlieue déversent quotidiennement leur haine de la France, appellent à la violence, insultent [voir notre page], et sont complaisamment relayés par les médias. Arrive Orelsan, rappeur franchouillard et son titre “Sale pute”. Levée de boucliers, interdiction de concert, prise de position politiques, et pour finir, ce reportage : les journalistes n’ont pas craint de demander à des “jeunes” de banlieue de donner leur avis sur l’affaire, et à deux Maghrébines de juger le sexisme/machisme du rappeur français…
Remarquez à partir de 1’04, le cadrage choisi et l’arrière plan insistant.
