• Roubaix : multiplication des incendies criminels dans les HLM des Trois-Ponts. Au 10e étage de la tour «E», le feu est mis à des portes d’appartement ainsi que devant l’issue de secours, dans le but de piéger les habitants. « À côté, c’est le compteur à gaz. Sans les pompiers, c’est tout l’immeuble qui aurait explosé ! ». Des locaux poubelles sont également incendiés. Deux jours plus tard, un autre logement est la proie des flammes suite à l’incendie d’un canapé à l’extérieur de l’immeuble. Sources 1 – 2 – 3 –4
• Toulouse : émeute urbaine à Empalot. Appelés pour de multiples feux de locaux à poubelles et de containers, la police et les pompiers essuient une véritable pluie de projectiles lancés depuis les balcons des immeubles. Bilan : un policier est blessé, aucun des émeutiers n’est arrêté. La présence d’une compagnie de sécurisation et de la BAC ne permettra de ramener qu’un calme précaire dans ce quartier où, précise La Dépêche, « des voitures brûlent régulièrement chaque nuit ». Source
• Cusset (Allier) : les habitants de la cité de Presles excédés par la violence criminelle des « jeunes ». Depuis un an, on ne compte plus les feux de poubelles, les caillassages de voitures, les incendies de véhicules. Même la salle des fêtes a été incendiée. « Quand est-ce que ça va s’arrêter ? Bientôt, c’est à un immeuble qu’on va mettre le feu », s’inquiète un père de famille. « Ça fait plus de 30 ans qu’on habite ici, on n’a jamais vu ça. Avant, c’était tranquille, sans histoire, ajoute un couple de retraités. « Tant que le sentiment d’impunité persistera, on ne parviendra pas à résoudre le problème », se lamente le maire de la ville. Source
Rappel des lois relatives aux incendies volontaires ici