• Barsac (Gironde). Levée de boucliers des riverains à l’annonce de l’implantation d’une aire d’accueil des gens du voyage. Les commerçants craignent de voir leur activité s’effondrer et les propriétaires leurs biens se déprécier, comme cet hôtelier dont le complexe jouxte la future aire d’accueil, ou la propriétaire du château de Comperos : « Pourquoi décider de rebuter les touristes avec cette aire ? ». Réponse du maire : « Il n’existe pas d’autre terrain non inondable ». Et de proclamer, théâtral : « Qu’on ne compte pas sur moi pour faire plaisir à quelques-uns et développer la haine de l’autre ». Source
.• Marans (Charente-Maritime) : un maire à l’écoute de ses administrés. Confronté à l’occupation sauvage de l’ancien stade par des gens du voyage, le maire (Vert) n’hésite pas à bloquer la route avec sa voiture et à faire creuser une tranchée par ses cantonniers pour empêcher l’afflux de caravanes. Avant d’être contraint de battre en retraite par la Préfecture. L’élu a déposé un recours administratif en expulsion. Source
• Vivre-ensemble à Cannes : un parasol planté dans le pied pour une simple réflexion. Une famille composée d’un père de 39 ans, de deux mamans et de sept enfants débarque et s’impose sur une plage noire de monde. L’agitation de la marmaille ne tarde pas à énerver les vacanciers alentour, indisposés par les projections de sable. Un touriste contrarié a le malheur de se plaindre : il est immédiatement passé à tabac par le père et son fils de 16 ans, qui le rouent de coups avant de lui planter un parasol dans le pied. Source
