« Ce qui nous intéresse, c’est que la colonisation afro-islamique de la France cesse. »
« Ce que nous voulons – et vite ! – c’est que nos flics et nos pompiers ne soient plus insultés et caillassés, c’est sortir le soir dans des rues propres et joliment fréquentées, prendre le métro ou les trains de banlieue sans avoir la peur aux tripes, respecter le carême sans qu’un cureton kollabo vienne nous rappeler à temps et à contre-temps que c’est le ramadan des chrétiens, ouvrir un livre d’enfant sans devoir se taper une fois de plus les malheurs de Foufouna et Mohamed, allumer la radio sans entendre de la musique arabe, voir à la télé autre chose que des blaques désarticulés et des beurettes hystériques, sentir dans nos rues d’autres parfums que celui de la merguez brûlée, manger à la cantine de l’usine, du lycée ou de la prison autre chose que de la dinde, bref, vivre en France, à la française, entre Français.
C’est raciste ? Eh bien que madame Sarkozy aille faire un tour un soir dans les cités duNeuf-Trois en minijupe et débardeur sous la seule protection de sa crevette de mari, on verra vite où sont les racistes…» (Lire le texte complet)
Pour les lecteurs qui ignorent qui était Serge de Beketch, l’article de Wikipedia, bien que discutable, donne un aperçu de la vie et de la carrière de ce journaliste hors du commun (décédé en octobre 2007). Une partie des archives de son Libre Journal est disponible sur internet.