Repris d’un blog aujourd’hui inactif :
• Phase 1. Négation : L‘immigration est marginale, c’est un fantasme d’extrêmistes. Je hausse les épaule lorsqu’on me parle de ce sujet.
• Phase 2. Colère : Je manifeste, je lutte contre ceux qui prédisent la mort de mon pays, je défile en rangs serrés contre Le Pen.
• Phase 3. Négociation : J’accepte l’idée que l’immigration représente une part de plus en plus importante de la population de mon pays. Je tente de convaincre les immigrés de s’intégrer, de ne pas bouleverser l’équilibre antérieur, de ne pas trop affecter mon mode de vie.
• Phase 4. Dépression : Tout semble échouer, à l’intolérance de «l’extrême-droite» s’ajoute celles des islamistes ou des jeunes de cité. Loin de s’améliorer la situation empire. Je me sens isolé, impuissant. Je ne comprend plus la situation.
• Phase 5, Résignation : Finalement non, l’immigration n’était pas un fantasme, et mon pays est bien devenu multiculturel et multiracial en quelques décennies. Les immigrés et enfants d’immigrés ont aujourd’hui la même légitimité que moi dans ce pays. Je constate résigné que mon pays a disparu. Source : Bikers-libéraux