La vidéo ci-dessous illustre très clairement le piège et le malentendu fondamental qui a perverti l’ensemble des débats sur l’immigration et l’identité. Ce malentendu porte sur un mot précis : «racisme»
Dans cet extrait d’un Envoyé Spécial de 1998, une professeur de banlieue “chaude” fait la morale à des élèves appartenant à des bandes. Ecoutez attentivement la définition donnée : “Le racisme, ça consiste à rejeter celui qui est étranger à un groupe, à un pays. A partir du moment où vous commencez à rejeter celui qui n’est pas de votre quartier, c’est le même principe.»
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=cB3atUsE2Fo[/youtube]
La signification réelle du mot (voir ici) est assurément toute autre.
Les européens de souche sont aujourd’hui soumis à la dictature d’un mot — et d’un seul. Son sens est aujourd’hui radicalement perverti, manipulé et joue en permanence sur une double acception : d’un coté, le “raciste” est celui qui refuse l’immigration massive, et de l’autre, il est associé — par transfert de sens abusif — à des évènements historiques précis de la 2e guerre mondiale.
L’ épouvantable connotation historique du mot est systématiquement appelée à la rescousse afin d’écraser tout sentiment identitaire — légitime — chez les européens. C’est la double signification — et l’ambiguité permanente — de ce mot-valise qui a figé toute discussion.
Utilisé à l’emporte-pièce comme premier et dernier argument, le mot “racisme” suffit à vitrifier toute discussion et à réduire son adversaire au silence.
C’est sur cette ambiguïté majeure et cet amalgame que prolifère «l’anti-racisme» aujourd’hui. Et ce piège sémantique est à la racine même du terrorisme intellectuel et du chantage permanent dont VOUS êtes victimes.
Si l’on vous accuse de “racisme”, interrompez la discussion. Exigez de votre interlocuteur qu’il définisse le mot.