Article tiré de l’Observatoire de l’islamisation
El Pais, premier quotidien espagnol, réputé de centre gauche, a consacré le 14 septembre un long article sur la mobilisation populaire contre les projets de mosquées, mobilisation qui depuis le milieu des années 90, a mis à mal 60 projets de mosquées.
Réactions des associations de riverains, pétitions, épinglage de la moindre entorse juridique (des normes incendies jusqu’à’ a l’emplacement des parkings), manifestations de rue, les espagnols sont à la pointe de la résistance en Europe. Dernier exemple en date, à Séville, 14 associations de riverains se sont serrées les coudes contre un projet imposant de grande mosquée.
On ne s’étonnera pas d’y retrouver les grosses ficelles de la presse de gauche : recours à des spécialistes — sociologues et universitaires — tous marqués idéologiquement, brodant sur les faux « préjugés » sur l’islam et la montée de la xénophobie.
Évidemment, leurs analyses concordent: les citoyens espagnols sont des incultes souffrant de la méconnaissance de l’islam, l’invocation de la liberté religieuse (n’existant pourtant pas en islam) et de l’intégration (dont personne n’aurait le droit de débattre) restant leur deux seules cuillerées pour faire passer leur pilule verte.
En revanche, comble de la partialité, si de nombreux représentants de la communauté islamiques sont interrogés — jusqu’aux plus radicaux, voir plus bas — aucun acteur de la résistance n’a été interrogé ! Facile dès lors de les stigmatiser comme autant d’incultes xénophobes…
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