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Les clandestins , non recensés par l’Insee, pèsent lourdement sur les finances de certaines villes.
• À Grigny, ces «hébergés» pourraient représenter jusqu’à 20 % d’habitants supplémentaires, si l’on en juge par l’explosion du nombre d’écoliers. Alors que la commune compte 26 000 habitants, elle affiche 1 400 élèves de primaire de plus que sa voisine Viry-Châtillon, pourtant plus peuplée.
Cela représente presque 45 classes que le recensement n’annonçait pas. Quatre groupes scolaires à bâtir, entretenir, chauffer, rénover et autant d’enfants à nourrir le midi. «Un groupe scolaire coûte en moyenne 500 000 euros par an à la commune. Notre déficit avoisine déjà les 14 millions… C’est insoutenable.» Certains accusent l’élu PCF d’avoir laissé les familles démunies se concentrer sur son territoire pour consolider sa base électorale et gérer comme une manne l’attribution de postes de fonctionnaires.

«Quatre groupes scolaires à bâtir, entretenir, chauffer, rénover et autant d’enfants à nourrir le midi»

• À Garges-lès-Gonesse, Val-d’Oise, le maire juge sa population largement sous-évaluée et assure que près de 10 % des enfants scolarisés ont des parents «hébergés».
• A Villiers-le-Bel, «il a fallu ouvrir six nouvelles classes», explique la mairie. En aparté, les maires de ces communes pauvres d’Ile-de-France reconnaissent le problème. Mais beaucoup ferment les yeux. (source)
L’immigration clandestine se massifie, notamment dans les grandes villes et la proche banlieue parisienne. Il faut héberger, scolariser, soigner, en bref mobiliser les services sociaux pour ces personnes en difficulté.

« Les communes où se concentrent les immigrés en situation irrégulière sont au bord de la faillite.
Nous avons l’obligation d’accueillir à l’école tous les enfants à partir de six ans. Cette loi, qui visait les gens du voyage a été détournée de son objet.
C’est devenue une nouvelle filière d’immigration. Les familles qui ne sont pas en règle le savent : une fois leur enfant installé dans une école, il est pris en charge par le Réseau Éducation sans frontière (RESF). Les parents se mobilisent et la famille devient inexpulsable.
L’école est devenue une porte d’entrée, s’ajoutant aux mariages blancs et aux certificats d’hébergement.»
Pierre Cardo, président UMP de la communauté d’agglomération et ancien maire de Chanteloup-Les-Vignes (source)

Outre l’aspect purement financier de l’immigration massive, ne pas oublier que c’est aussi l’école dans son ensemble et le niveau d’éducation général qui sont tirés vers le bas. Une part de la facture est payée par vos enfants.

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