Article du Figaro
Des actions suicides à l’aide de bombes introduites dans le corps. Un procédé qui pose la question des techniques de contrôle des passagers.
La scène se déroule à 5 000 km de Paris. Le 28 août dernier, un islamiste recherché, se présente au palais Z en Arabie saoudite. A peine le maître des lieux s’approche-t-il que le terroriste manipule un téléphone mobile. Une explosion retentit. Son visiteur est éparpillé dans la pièce en soixante-dix morceaux. Il s’est fait sauter avec sa bombe. «Un explosif ingéré en somme, ou plutôt introduit comme un suppositoire.»
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