► Nouveau plus haut historique pour l’or à 1.040 dollars
Des rumeurs évoquent la possibilité que le métal fin remplace le dollar dans la fixation des prix du baril de pétrole. Le Figaro
► Le dollar faiblit face à la perspective de taux d’intérêt bas aux USA
“Les taux directeurs de la Fed devraient rester à un niveau exceptionnellement bas pour une longue période” en raison d’une inflation faible et d’un rebond économique modeste, a déclaré lundi le président de la Banque de réserve de New York William Dudley. A l’inverse, l’Australie est devenue mardi le premier pays économique mondial majeur à relever ses taux depuis l’éclatement de la crise: sa banque centrale a annoncé qu’elle les avait augmentés de 25 points de base, à 3,25%. Boursorama
► « Les États-Unis ne risquent pas de s’en remettre de sitôt »
Eric Sprott, le grand patron de Sprott Gestion d’actifs a servi cette mise en garde aux investisseurs : « Le Trésor américain est à sec. Il lui faut donc maintenant imprimer de l’argent pour financer les sauvetages, et pour acheter la dette émise pour renflouer ses coffres… » En clair, le gestionnaire étoile de Toronto affirme que le Trésor américain dépense de l’argent qu’il n’a pas dans un effort qui, à l’évidence, ne fonctionne pas. « On a beau s’enthousiasmer pour une croissance de 1 % des recettes de ventes au détail par exemple, le fait est que les ventes sont encore à leurs plus bas niveaux. » Il cite l’exemple de l’automobile, dont les chiffres sont au tiers de qu’ils étaient avant la crise. Finance-Investissement
► USA: Encore “de nombreux risques devant nous” (Geithner)
Le secrétaire américain au Trésor avertit qu’il y a encore “de nombreux risques” pour l’économie et répète que les États-Unis sont en faveur d’un dollar fort. “Le plus dangereux? Que les gens se sentent tranquilles trop tôt. Souvenez-vous des problèmes d’il y a un an“. Alors que les Européens lancent des appels du pied en direction des Américains pour qu’ils encouragent une remontée du billet vert face à l’euro, le secrétaire au Trésor a de nouveau assuré que les États-Unis étaient “en faveur d’un dollar fort“. Le Monde