Ce fait divers ayant à nos yeux valeur de symbole, nous le présentons isolément. Remarquer que les faits ne se passent pas dans une “banlieue” mais au centre-ville. Et que nous sommes dans une petite ville de province.
Angoulême : un serveur violemment agressé pendant son service. Il a eu le malheur de reprocher à un jeune d’avoir craché sur une table. La bande l’a copieusement insulté et roué de coups.
Le patron d’un restaurant du vieil Angoulême préfère ne pas donner son nom ni celui de son enseigne. «Je ne veux pas revenir un matin et trouver ma vitre brisée par représailles.» Ce soir-là, vers 21 heures, le patron et son serveur font une pause cigarette. Au même moment, un groupe de «quatre ou cinq garçons de 18 – 20 ans» passe dans la rue. L’un d’entre eux crache sur une table du restaurant.
Le serveur leur fait alors une remarque. Aussitôt, un des membres du groupe saisit une chaise et la lance sur lui. «Et tout le groupe lui a sauté dessus.» S’ensuit alors un déchaînement de violence sur le malheureux qui a osé élever la voix. Ils sont plusieurs à le frapper. Coups de poing, coups de pied: la victime se retrouve avec de multiples contusions, une fracture de l’auriculaire de la main gauche et «la gueule fracassée».
Après ces cinq minutes de violence, le groupe est reparti, sans oublier d’abreuver d’insultes sa victime. «Ils n’étaient pas alcoolisés. C’est de la violence purement gratuite». (source) (via pakounta)
Les « jeunes » dans les médias. Définition
Les médias font la plupart du temps usage du mot «jeunes» pour désigner des mineurs ou des adultes d’origine immigrée causant des troubles à l’ordre public, ou commettant crimes et délits.
Le mot “jeunes” englobe tous types d’individus allant de 10 à 35 ans bien tassés. Médiatiquement, de façon très notable, la plupart des “jeunes” s’appellent «prénom modifié». Cette pratique journalistique censée éviter la “stigmatisation” tente vainement de dissimuler ce que tout le monde sait déjà : que ces “jeunes” sont issus de cultures exogènes bien définies, inassimilables au substrat européen (l’histoire nous l’enseigne). Officiellement, de par leur “diversité”, ces cultures sont censées nous enrichir.
Les jeunes donc…[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=7CRDs33dJxw[/youtube]« Le respect, c’est une valeur de voyous. C’est une culture de gangsters. C’est quelque chose qui est aux antipodes de l’humanisme. » Xavier Raufer, criminologue – Cdansl’air – 2 sept 2009
- Les «jeunes» haïssent tout ce qui de près ou de loin rappelle la France.
- Les «jeunes» brûlent régulièrement des poubelles, des voitures, des maisons, des gymnases, des écoles, des crêches, des bibliothèques ou des églises. Mais pas les mosquées.
- Les «jeunes» sont violents : ils insultent, agressent, cassent, détruisent, brûlent, pillent, tapent, tabassent, violent ou tuent gratuitement. Le plus souvent en bandes.
- Les «jeunes» détestent les policiers, les pompiers, les médecins, les infirmières, les facteurs, les électriciens, les profs… (liste incomplète).
- En revanche, les intellectuels, les profs, la gauche, les médias… (liste incomplète) adorent les «jeunes» : ils sont « l’avenir de la France », la chance de demain, la promesse d’un monde riche et coloré, ou règnent tolérance et partage.
- Les «jeunes» fument ou vendent du shit. Souvent, les deux.
- Les «jeunes» écoutent ou pratiquent le rap. Souvent, les deux.
- Les «jeunes» se dissimulent la plupart du temps sous une capuche car ils n’ont rien à cacher.
- Les «jeunes» ont souvent un quotient intellectuel à un chiffre. Et en tirent gloire.
- Si vous osez faire une remarque à des «jeunes» sur leur comportement infect, ou si vous avez osé les regarder avec une pointe de réprobation, ils vous ordonneront de les “respecter”. A coups de poings ou à coups de couteau si nécessaire.
- Les médias refusent semble-t-il de voir que le mot “respect” peut avoir, selon les personnes, les ethnies ou les cultures, des sens forts différents : le “respect“, chez le «jeune», est avant tout associé à l’intimidation, à la menace, à la violence et à la peur. Jamais à une qualité quelconque qui mériterait une estime véritable.
L’emploi généralisé du mot “jeunes” :
- minimise des actes de délinquance ou des actes criminels intolérables en les mettant sur le compte d’erreurs de jeunesse.
- escamote la question du racisme dirigé vers les européens de souche.
- permet d’occulter le lien entre immigration et insécurité.
- Les “jeunes” sont toujours présentés comme les victimes d’une société qui rechignerait à les intégrer.
- Quelle que soit la gravité des actes — vol, viol, crime, attaque à main armée, agression gratuite, trafic de drogue… — le “jeune” reste un éternel “délinquant”.
- Délinquant est cet autre mot flou et passe-partout qui évite d’employer des vocables plus précis : voyou, criminel, bandit, voleur, violeur, malfaiteur, incendiaire, braqueur etc…
- Avec le mot «jeunes», les médias-qui-pensent- comme-il-faut font passer les barbares pour des victimes. Et dans la grande tradition du procès Stalinien, en profitent pour taxer la société toute entière de racisme.
- En lieu et place du mot “jeunes”, nous suggérons aux journalistes qui nous lisent une liste de vocables susceptibles d’agrémenter et d’enrichir leurs articles et reportages (tirés de cet excellent dictionnaire en ligne) :
Agresseur, arriéré, assassin, bandit, barbare, bâtard, bon à rien, braqueur, brigand, brute, canaille, casseur, charogne, chien, crevure, coquin, coupe-jarret, crapule, criminel, débauché, dévoyé, détritus, drogué, escroc, faquin, fainéant, filou, forban, frappe, fripouille, fripon, fumier, galapiat, gangster, garnement, gibier de potence, gredin, hors-la-loi, ignare, idiot, immondice, incendiaire, junkie, malandrin, malfaiteur, malfrat, maraud, meurtrier, misérable, ordure, ostrogoth, pègre, plèbe, pourriture, racaille, raclure, ramassis, rebut, ribaud, rosse, sadique, salaud, sale type, saleté, saligaud, salopard, sauvage, scélérat, tâche, terreur, truand, vandale, vaurien, vendu, vérole, vermine, vicieux, vidure, voleur, voyou.