• Bruxelles : un «eldorado pour criminels», affirme le quotidien allemand Die Welt, qui révèle que parlementaires et fonctionnaires européens ne se sentent plus en sécurité, craignant de se faire attaquer «à chaque coin de rue». L’agression récente de la députée européenne Angelika Niebler ne serait en effet pas un cas isolé. Et le quotidien de dénoncer l’inaction de la police belge, accusée d’ «attendre sans réagir» face à l’explosion de la criminalité. «La situation à Bruxelles n’est pas pire que celle d’autres grandes villes», relativise la ministre de l’intérieur belge. Source
• Bandes ethniques bruxelloises : un sociologue analyse le phénomène. La criminalité est, comme toujours, expliquée par l’argument de la précarité et du chômage, dont les délinquants seraient les victimes. Egalement mise en avant, la volonté de «transgression», qui «fait partie de la construction de la jeunesse», ainsi que la «vieille tradition de faire peur aux bourgeois». «Il faut dédramatiser l’ampleur de ces bandes», ajoute le sociologue , affirmant que « la proportion des bandes par rapport à l’ensemble des jeunes dans ces quartiers est relativement minime. Toutefois, précise-t-il, on ne peut pas négliger l’apparition d’un phénomène de meurtres, assez neuf par rapport à la situation antérieure» . Source (débat audio inclus)
• Moleenbek : un belge de 32 ans attaqué, roué de coups, dépouillé et jeté sur la voie du métro par une bande de jeunes. Source