En renvoyant devant la justice neuf personnes dont l’ancien chef de l’Etat, dans l’affaire des chargés de mission de la Ville de Paris, la juge d’instruction n’a que partiellement suivi le parquet qui avait requis un non-lieu général.
Une première sous la Ve République. Un ancien chef de l’Etat, Jacques Chirac, est renvoyé devant un tribunal correctionnel, dans l’affaire des chargés de mission de la Ville de Paris, pour «21 supposés emplois fictifs». Maire de Paris de 1977 à 1995, il bénéficie toutefois d’un non-lieu pour le chef d’accusation de «faux en écriture publique». Ce sont les conclusions de l’ordonnance signée, ce vendredi, par la juge Xavière Simeoni.
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