L’administration pénitentiaire décide de priver les 2 500 surveillants de la direction inter-régionale des services pénitentiaires de Lille (DISP) d’une partie de leur salaire de décembre.
À quinze jours des fêtes de fin d’années, dans un contexte de surpopulation carcérale éprouvant, les « matons » sont mis au pied du mur. Ils devront faire une croix sur le paiement, en décembre, de leurs heures supplémentaires, des primes de nuit, des dimanches et des jours fériés.